Suspecté d'avoir détruit des radars, un Nantais sera jugé en avril
Soupçonné d’avoir fait exploser une dizaine de radars en région parisienne en 2007, Frédéric Rabiller comparaîtra le 26 avril devant le tribunal correctionnel de Paris.
Ce postier de 31 ans sera jugé pour destruction d’engins d’utilité publique et fabrication et détention de substances entrant dans la fabrication d’explosifs en relation avec une entreprise terroriste. « M. Rabiller n’appartient pas à un mouvement terroriste, commente son avocat, Me Pierre Gonzalez de Gaspard. Il était et se trouve toujours le seul membre de la Fraction nationaliste armée révolutionnaire, une création inoffensive de son cerveau. » Sous contrôle judiciaire après une première mise en examen en 2008, Frédéric Rabiller avait été à nouveau interpellé au domicile de sa mère, avenue Chanzy à Nantes, en juillet 2009.
Un produit servant à fabriquer des explosifs avait alors été saisi. (Source Presse Océan du 28-01-2011).
Ce postier de 31 ans sera jugé pour destruction d’engins d’utilité publique et fabrication et détention de substances entrant dans la fabrication d’explosifs en relation avec une entreprise terroriste. « M. Rabiller n’appartient pas à un mouvement terroriste, commente son avocat, Me Pierre Gonzalez de Gaspard. Il était et se trouve toujours le seul membre de la Fraction nationaliste armée révolutionnaire, une création inoffensive de son cerveau. » Sous contrôle judiciaire après une première mise en examen en 2008, Frédéric Rabiller avait été à nouveau interpellé au domicile de sa mère, avenue Chanzy à Nantes, en juillet 2009.
Un produit servant à fabriquer des explosifs avait alors été saisi. (Source Presse Océan du 28-01-2011).
Excellent la vidéo. Arf, c'est triste. Il va être jugé pour avoir réalisé ce que tout le monde rêve en secret de faire. :/
RépondreSupprimerAprès si l'inculpation c'est la "destruction d'engins d'utilité public", on peut éventuellement l'acquitter en mettant en doute cette notion d'utilité publique. :P Elle n'a jamais pu être démontrée sérieusement jusqu'à aujourd'hui (...hormis pour les caisses de l'Etat bien entendu).